Demain, si je ne m'abuse, nous serons le Samedi 30 mai, et à 16h, au lieu de goûter, je m'entretiendrai avec Pascal Jourdana lors d'une "rencontre entre les lignes", à la Médiathèque Louis-Aragon de Martigues, avec le soutien logistique et amical de la librairie L'Alinéa. Cette rencontre, initiée par l'association culturelle La Marelle, aura lieu, assez logiquement, dans la "salle des rencontres" et sera "tout public" — je ne parlerai donc pas de Yann Zeller ni de Florian Moix.
Bon, je me doute bien que vous préféreriez aller écouter Louis Aragon à la médiathèque Amédée-Claro, mais c'est comme ça, la vie est mal faite, il faut vous y faire. Tout ce que je peux vous promettre, si vous avez le courage de venir bénéficier de la climatisation incomparable de l'endroit (j'espère que je ne m'avance pas trop…) c'est que je causerai d'écriture, de traduction, d'édition, mais aussi, si Dieu et Jourdana le veuillent, de cuisine (je pense en particulier au tartare d'espadon), de ce sport dangereux et négligé qu'est le bilboquet, et pourquoi pas de mes beaux-parents qui n'habitent pas très loin, du côté de Fréjus, et que j'irai voir le lendemain en priant pour que Chantal m'ait acheté cette hallucinante tropézienne aux framboises dont je raffole et dont apparemment une seule pâtisserie dans tout l'univers semble avoir le secret, une pâtisserie située à — non, je préfère ne pas vous refiler l'adresse. (Message personnel: Marion, j'arriverai dimanche à Saint-Raph par le train de 14h10 – nom de code: Opération Polymousse. )
Vous êtes un chouette gars, M. Claro. :)
RépondreSupprimerje connaissais le bilboquet à la Henri III modifié par les Ottomans lors des sièges des villes ennemies.
RépondreSupprimersa pratique avec une tropézienne aux framboises ouvre évidemment de nouveaux horizons.
mais questions :
- en use t'on comme un barillet avec rotation de la tropézienne à chaque jet pour marquer chaque framboise (étant donné qu'il y a logiquement plus d'un fruit par gateau).
- ou est ce un jeu collectif, à chaque framboise son joueur.
le dilemme reste ouvert.
ceci dit, pour la médiathèque Amédée-Claro, les subsides culturesques étant ce qu'ils furent, les édiles de la région PACA en resteront à l'annexe Elsa Triolet, petit édicule attenant à la médiathèque actuelle.
Alors évidemment, si je pouvais disposer de l'hélicoptère qui figure sur la photo, je viendrais sans problème à Martigues demain pour rencontrer Dieu (c'est lui le beau gars qui pilote ? Je vais revoir dare-dare ma conduite pour être sûr d'atterrir au paradis !!!)
RépondreSupprimerJe tiens à préciser que le véhicule que je viens de garer, qu'on voit à l'arrière de l'image, m'a été prêté par un ami. Jamais je ne roulerais dans un tel engin, c'est trop voyant. En revanche le casque que je porte à la main est bien le mien. Je le garderai pendant la rencontre – tel un Hollande amoureux ou un Daft Punk avant son coming-out de visage – car avec Claro, on ne sait jamais à quel saut périlleux verbal il peut nous inciter. Je le soupçonne en plus de s'adonner aux mêmes genres de pirouettes que la fameuse Pomponette Iconodule, et j'espère que la visière de mon casque, en plus d'être solide, a bien conservé son filtre visuel, aussi efficace que celui de Google Images. Il faudrait prévenir les dames des clubs de lecture de Martigues, tout de même, je ne suis pas sûr qu'elles pensent venir avec un casque, une visière, ou même un loup.
RépondreSupprimerPascal
Je viens d'avoir Dieu par SMS. Il approuve le port du casque, et me dit qu'il "ne faudrait tout de même pas qu'on le tienne pour responsable de tout, nom d'Adam !"
hasards et contrastes Républicains en ce samedi 30 mai.
RépondreSupprimerje suis allé visiter le petit musée de l'Abbé Grégoire à Emberménil (cétait d'ailleurs quasiment l'anniversaire de sa mort).
hasards et contrastes.
on peut tout de même être fier d'avoir eu de tels hommes.
Aragon :je relis "Aurélien" que j'avais lu la dernière fois dans les années 60, le pied, intact, quel roman ; Aragon avec Sartre mes préférés d'hier, puis maintenant Echenoz, Gailly, cela me change de mes écrivains favoris tous américains du nord comme du sud ; en attente le dernier Vargas LLosa "le héros discret"
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