Laurent Binet (écrivain), après avoir reçu de Franz-Olivier Gisbert (présentateur de télévision) le prix du roman FNAC (chaîne de magasins spécialisée dans les produits culturels, électroniques et le petit électroménager):
« Ce prix me touche, d’abord parce que je faisais partie d’une sélection qui comportait beaucoup d’autres titres prestigieux. C’est toujours agréable, cette impression de remporter une compétition. »
L'écriture, ce sport de haut niveau… Ne pas échouer, ne pas échouer encore, ne pas échouer mieux?
Hélas, hélas, (trois fois), tout sera donc devenu compétition !
RépondreSupprimerSponsorisé par Grasset.
RépondreSupprimerDrôle quand la langue rattrape. Comme quoi....
RépondreSupprimer"Un écrivain qui reçoit un prix littéraire est déshonoré."
RépondreSupprimer(Paul Léautaud. Entretiens avec Robert Mallet)
Il faudrait que quelqu'un envoie à ce complexé de Binet le brûlot "Mes prix littéraires", de Thomas Bernhard.
RépondreSupprimerPourquoi ne pas voir ici tout simplement un peu moins d'hypocrisie et plus d'honnêteté que dans les pauses habituelles ?
RépondreSupprimerN'est-ce pas un peu ironique, cette phrase de Binet ?
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