jeudi 26 février 2015

Libraire d'un soir : le teaser

Avis à la population. Jeudi 5 mars, la semaine prochaine, donc, j'aurai le privilège d'être le "libraire d'un soir" à la librairie Charybde. Cette formule, que j'avais eu la chance d'inaugurer en octobre 2001, a depuis connu un chouette succès, et nombre d'écrivains, éditeurs ou acteurs de l'édition ont joué le jeu et fait leur boulot d'apprenti libraire.
Je remettrai donc le couvert jeudi prochain avec sept livres dont je ne puis hélas vous dévoiler les titres car, un peu comme pour le club de la baston (en anglais: fight-club…), la règle est la suivante: interdiction formelle d'annoncer avant le jour même la liste des ouvrages qui seront présentés. Mais comme je ne suis que partiellement sadique, je vais néanmoins distiller quelques éléments qui peut-être vous donneront envie de venir jeudi 5 mars à la librairie Charybde, 129 rue de Charenton, 75012, aux alentours de 19h30:
Il sera question de la solitude quasi totale du trou (1), de larmes de deux mille ans (2), du ravitaillement par les corbeaux (3), de fantômes logés dans les noms (4), de corps qui tuent à l'aveuglette (5), de couilles tuméfiées (6) et de Star Trek (7). Voilà. Vous êtes bien avancés maintenant.
Allez, un dernier indice: Barbe-Bleue sera absent, lui.

4 commentaires:

  1. Barbe-Bleue absent, d'accord, mais le loup du Petit Chaperon Rouge ? J'espère qu'il ne fera pas faux-bond, lui !

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  2. Claro qui refait le libraire ? Je ne raterai ça pour rien au monde, j'y cours, j'y vole, j'y serai ! Je ne raterai ça pour rien au monde, ça me rappellera de vieux et bons souvenirs...

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  3. A ces pistes jetées pêle-mêle en votre jeu viennent se coller deux suggestions d'un même auteur jadis emprunté et jamais lu, simples volumes trouvant à s'entreposer quelques temps dans l'espace en forme de proue qui m'accueillait alors, les larmes d'Eros pour la tristesse sans fond et le procès de Gilles de Rais pour le tout , ne sachant pas au juste ce qu'il advint du corps des nombreuses victimes de ce grand seigneur à l'honneur particulier. De batailles l'auteur ne livrera plus et surement se rassure-t-on qu'une onde fraîche et neuve couvre la ligne sans fin du roman.

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  4. J'ai eu du mal à lire "couilles tuméfiées"...

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