Cette phrase, prononcée par le moniteur de philosophie Michel Onfray, m'a frappé, non par sa profondeur abyssale et sa sémillante générosité, mais par l'espoir qu'elle semble porter à bout de neurone telle une flamme ignifugée (euh?). Je me demandais comment on pourrait s'y prendre pour éviter le spectacle de la mort de la pensée qu'incarne, en son pénible goutte à goutte mental, Onfray. Eh bien, nous avons maintenant une amorce de réponse, je crois.
Bon, sinon, sachez qu'un recueil de textes de Gilles Deleuze vient de sortir aux éditions Minuit, sous le titre Lettres et autres textes. Quel rapport avec Onfray, me direz-vous? Aucun, vous répondrai-je. Onfray dévale les pentes de sa poudreuse pensée tandis que Deleuze réinvente, à chaque page, le concept de flocon.
Mouaahahahah ! <3
RépondreSupprimer"L'euthanasie, c'est la possibilité d'éviter le spectacle de sa mort".
RépondreSupprimerOui, d'accord, Onfray confond la mort et l'agonie, mais c'est normal: il n'est plus philosophe. Maintenant c'est une icône, et pas une icône simple, non: une icône qui fait des "rencontres du troisième type" avec d'autres icônes !
http://www.lepoint.fr/culture/quand-mylene-farmer-rencontre-michel-onfray-04-11-2015-1979381_3.php#xtor=CS1-32
Onfray quoi du Michel vous demandez-vous? Lol! Mais la seule chose qui est faisable avec lui: le voir faire le bernard comme d'autres le jacques, avec une coquille fardée en Camus sur le dos.
RépondreSupprimerMais il y a malheureusement pour ce fi-losophe des Albert qui ne se dissoudront jamais dans Michel. Même et surtout monté en Onfray.