Vingt-deux films sélectionnés – aucune réalisatrice.
Bravo, hein, le comité de sélection: ça demandait quand même pas mal de concentration pour en arriver là.
C'est bizarre, mais on a du mal à imaginer l'inverse. Vingt-deux films sélectionnés, tous signées par des réalisatrices. Ça scandaliserait? Oui, sûrement. Et ça serait normal. Ça sentirait la magouille féministe. Un truc dans ce genre.
Mais là, non. Parce que hein, bon, c'est le septième art, pas un concours de parité. Ne soyons donc pas mauvaise langue. C'est peut-être juste le hasard. Mais le hasard est vraiment très con en plus d'être bigleux. Et on ne peut pas dire que le bénéfice du doute, dans ce cas-là, fasse humainement recette.
Exactement ! Et devant la tristesse des mercredis, mon ennui crée le désir... d'aller voir ailleurs le « film que j'espérais tant découvrir et aller voir » (le titre a encore changé). Alors j'irai cracher sur vos ombres, dans les salles obscures (pourtant je les affectionne, mais là !), je sortirai, userai mes talons dans ces rues mal pavées, m'assiérai non en terrasse mais dans la pénombre de la salle et lirai en attendant la fin du film. Et puis non. Peut-être partirais-je avant, pour un rendez-vous intéressant (comme la présentation d'un livre), en librairie, du genre " urbain ".
RépondreSupprimeril faut tout de même avouer qu'à la décharge du duo frémaux/jacob, jane campion n'a réalisé aucun métrage, cette année.
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