jeudi 28 juin 2007
Du corps défait
La belle affaire est entendue, fuie, rouillée: à s'y déprendre on racle soi. Façon d'oublier tout ce qui grouille-toi on va rater le dernier métro s'ouvre en grand: assomption. L'utile babille. Le lien saigne. Je vous invite à ma morsure. Combien? Votre chiffre est légion et se raidit, c'est mieux ainsi. On ira ailleurs: là où ça foudroie très lentement ce qui, sens aidant, carbonise l'os.
C'est donc l'invention du monde: le dit du cul de la langue dont vous ne vouliez pas. Elle est.
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Cher Claro,
RépondreSupprimerj'ai fait de bien longues études littéraires, je suis un grand amateur de Pynchon, je vous trouve très bon traducteur... et je ne comprends pas ce que vous écrivez : ni ce post, ni le précédent.
Est-ce que c'est normal ?
Qu'est-ce qui vous rassurerait le plus? Que ce soit normal ou que ce soit anormal?
RépondreSupprimerJe ne cherche pas à être rassuré, je vous trouve parfois bien sûr de vous, bien intransigeant : toutes les difficultés de vos textes sont-elles bien utiles ?
RépondreSupprimerS'il s'agit de mener le combat contre le sarkozysme ambiant, ne faut-il pas s'assurer de l'efficacité des armes que l'on emploie ? Faire en sorte que les coups portent ? Que les messages soient entendus, et pas seulement par quelques déjà convertis ?
Amicalement,
Van Vinelander