dimanche 20 septembre 2009

Quand la fourche langue

Will, de Jody Pou est un livre, a book, liber, libre, qui uses two languages deux langues, bifide, traçant des diagonales entre la peste bubonique, black death, Anaïs Nin, l’harmonie chromatique et many other subjects, des sujets, soumis, aux variations lumineuses, aux spectres, ghosts, revenants coming back à travers les yeux de l’auteur, two eyes, one in french l’autre en anglais, diffraction, donc, fragments, afin qu’enfle la langue, par la peste, le double dire, twofold saying ce qui, photographié par Nadar or described by Nin as éclairage poétique, erotic lightning, foudre, coup de, blow, dans une simultanéité visant et la saturation et l’éparpillement, lecteur fendu, split reader, « tu ferais mieux de humer mes membres », she said, elle écrit, une installation à deux perspectives, stéréoscopie mouvante, changeante, renouvelant l’expérience l’épreuve the proof de la lecture qui toujours divise et multiplie, double double, pour mieux loucher la phrase, jamais totale, jamais finie, never ending, la recherche d’un remède, a cure, au final insolemment musical, composé on l’a dit said written par Jody Pou, titré Will, volonté, temps du futur, feu follet Shakespeare, publié aux éditions Les Petits Matins, the Little Mornings, dans la collection Les Grands Soirs, tall big immense evenings, nights, nuits, dirigée par by Jérôme Mauche, voilà, here you go, read, lisez, lu.

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