"Le totalitarisme a inventé son invisibilité" (Cédric Demangeot)
mercredi 14 septembre 2016
Plan du "Jérusalem" d'Alan Moore, avec point noir marquant l'emplacement du chapitre 26
Èveillée,
Lucia s’élève aux primerais du seulœil. Selon lavis des merdecins et
gratte-malades, elle est de toute évidanse un mystoire, mais fossile à
résourde, du morment qu’elle avalanche ses merdoques à heurts fixes…
Aboulafia! ton corps a disparu. De toi, il reste vingt-deux éclats et dans chacun, un instant de ta vie est tracé. Tu es pris dans le cercle, que tu vives ou que tu meures, ton palais est circulaire. La fin et le début se rejoignent. Tu as gommé ton apparence. Tu as fait disparaître toute chair. De toi, il reste du minéral et un cercle transparent, et dans le cercle des lettres blanches, rouges et noires. Le cercle tourne, souviens-toi! «Aux combinaisons des lettres, il n’y a pas de fin.» Le cercle roule et le livre s’écrit. Et qui saura le lire? Qui?
Sa fé malo zieux
RépondreSupprimerClaro, vous zeste mont air-haut
RépondreSupprimerAboulafia! ton corps a disparu. De toi, il reste vingt-deux éclats et dans chacun, un instant de ta vie est tracé. Tu es pris dans le cercle, que tu vives ou que tu meures, ton palais est circulaire. La fin et le début se rejoignent. Tu as gommé ton apparence. Tu as fait disparaître toute chair. De toi, il reste du minéral et un cercle transparent, et dans le cercle des lettres blanches, rouges et noires. Le cercle tourne, souviens-toi! «Aux combinaisons des lettres, il n’y a pas de fin.» Le cercle roule et le livre s’écrit. Et qui saura le lire? Qui?
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