mercredi 16 janvier 2008

Catacastrophe

"Je ne jouis pas d'une capacité physique suffisante pour parler directement aux habitants de la localité où l'on m'a inscrit comme candidat aux élections de dimanche prochain. Je fais ce que je peux : j'écris", a déclaré Fidel Castro, 81 ans.
Putain, il manquait plus que ça… Que tous les écrivains se reconvertissent fissa dans la dictature!

4 commentaires:

  1. Ah ! Ah ! Ah ! oui, ohlala...
    (C'est pour ça que mon père m'appelait Pinochet quand j'étais gamine ?)...

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  2. Heu...plutôt que d'attaquer directement par la dictature, est-ce que je peux commencer par me mettre à fumer le cigare ?

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  3. LES RAVAGES DE L'ECRITURE

    Tout écrivain lucide se sait
    Dictateur en puissance
    Il est vrai qu'ils sont peu nombreux
    Les translucides
    Les pire fascistes sont poètes
    Ils allient la rigidité cadavérique
    Aux armes de destruction massive
    A haute teneur en acides gras
    Alpha 1 et omega 3
    Du garanti pur jus de trois étoiles

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  4. Hugh! Christoph Claro.
    Je cherchais à vous joindre et je suis tombé sur votre blog.
    Tants pis si pour laisser un message je passe par la case Fidel Castor (qu'est ce qu'ils ont avec les castors en ce moment?)

    Bref, je voulais avoir vos impressions sur Dying Inside de Robert Silverberg. Que vous avez traduit. J'ai lu et relu dans la compil Voyage au bout de l'esprit parue chez Omnibus.
    J'adore ce bouquin. C'est un grand livre. Personne n'en parle jamais, certes Robert Silverberg n'a pas écrit que des chefs d'oeuvre, mais il est en bonne place dans mon Panthéon personnel, rien que pour Dying Inside, Le livre des Crânes, le temps des changements et quelques très bonnes nouvelles.
    Si vous pouviez nous publier un post là-dessus, j'en serais ravi.

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