Christophe Donner est furieux. Des magouilles lui ont barré la route à ce mini-Nobel époustouflantissime qu'est l'ultra prestigieux prix Reuhnodo. On le comprend. Ce doit être un choc, après des années d'écriture, de découvrir que le ver est dans la pomme. Un vrai traumatisme. Afin que ce genre d'effondrement cataleptique ne se produise plus, je pense qu'il est grand temps de livrer la vérité vraie sur les prix littéraires. On évitera ainsi déceptions, rages, petits fours tièdes et, qui sait, blocages littéraires. Donc donc donc the truth and nothing but the truth: "Ne sont primés que ceux qui le méritent." Voilà, c'est dit. Quant à savoir ce que signifie exactement le "mérite" dans l'esprit de ceux qui décernent des prix (souvent des primés, parfois des déprimés, jamais des brimés), eh bien je crois qu'il est inutile de vous faire un dessin. C'est pas le loto, bordel! D'ailleurs, c'est déjà plié pour le Médicis étrange. Ce sera Les Disparus. Un titre qui ne fera pas rire tout le monde.
Bien vu pour le Médicis...
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