mercredi 6 décembre 2017

2007-2017. Dix ans de Clavier Cannibale

Juste pour vous dire que ceci est le 2017ème billet du Clavier Cannibale©, blog doux et compatissant à visée prophylactique commencé naïvement en juin 2007, il y a un peu plus de 10 ans, alors que je venais tout juste de décrocher mon brevet 50 mètres nage libre — puisque nous sommes en 2017 et que, figurez-vous, c'est comme ça, mais il se trouve que 2017 - 2007 = 10. Les chiffres, contrairement aux lettres, sont formels. Donc:

Merci à tous ceux et à toutes celles qui suivent ce blog, se ruinent en livres, se marrent parfois.
Merci aux éditeurs, surtout les plus discrets, qui m'envoient (parfois) des livres.
Merci aux lecteurs et aux lectrices qui prennent la peine de me conseiller d'autres lectures.
Merci aux libraires qui me suivent et vont jusqu'à me le dire.
Merci aux ami.e.s qui me lisent se fendent parfois d'un petit retour.

Sur ce, je laisse le soin à John Lennon (c'est un des quatre membres du célèbre groupe de rock anglais The Beatles) de vous indiquer comment fêter dignement cet anniversaire…

(et pour une fois je crois n'avoir fait ni fautes ni coquilles…)




9 commentaires:

  1. Voilà donc l'origine de cette hécatombe…

    RépondreSupprimer
  2. j'ignorais qu'il fallait savoir nager (50 m) pour tenir un blog et parler le grand breton

    mais sur ce site on apprend tous les jours (sauf souvent le dimanche)

    merci aussi de nous dire quoi c'est que c'est mieux de lire

    ou quelquefois d'aller rafraîchir son neurone ailleurs

    RépondreSupprimer
  3. Merci à toi, et les fautes et coquilles, on s'en tape, l'important est ailleurs !

    Jules

    RépondreSupprimer
  4. Merci de nous mener hors des sentiers battus.Ne pas arrêter surtout!

    RépondreSupprimer
  5. et c'est reparti pour un tour...

    RépondreSupprimer
  6. Je viens de découvrir ce blog, j'aime bien j'aime bien.

    RépondreSupprimer
  7. Si ce n'est le "ami.e.s" et le "qui me lisent ET (par exemple) se fendent parfois d'un petit retour."

    Bravo pour la traduction de Jérusalem... J'ai découvert votre travail avec La Maison des feuilles au moment de sa sortie.

    RépondreSupprimer
  8. Merci pour ces dix ans, même si je suis arrivé en cours de route. Merci pour toutes ces découvertes dont mon esprit se réjouit autant que mon porte-monnaie les déplore. Merci pour ces réflexions qui enrichissent notre regard sur la littérature, sur le monde.

    RépondreSupprimer
  9. Merci pour tout ce qui est dit sur ce blog, Claro.
    J'ai écouté deux fois la communication sur "la disparition", le jour où le lien est apparu sur le compte twitter, et là tout à l'heure, parce que envie de la réécouter tranquille. Magnifique. "disparaître devient transitif" ; "un roman dans lequel la lettre e ne cesse de disparaître" ; le lien entre le e et "entretenir le souvenir d'eux" ; "Perec a érigé l'absence en pivot nomade" ; "Revenons à la traduction, revenons à la disparition de l'origine" ; "le texte original est un revenant, au sens où il revient sans cesse, comme en transparence, non pas en arrière-plan, ou sous la traduction, mais la traversant, littéralement, littérairement". C'est inspirant ; le souvenir de tant de eux, de tant de elles est entretenu sur ce blog ; on respire sur ce blog.
    D.

    RépondreSupprimer