Le premier chapitre du Jérusalem d’Alan Moore commence par l’introduction d’un des personnages : Alma Warren. On remarquera que Moore commence par le mot « Alma », un prénom assez riche, ayant le mérite alphabétique de commencer par un A. Un mot qui renvoie, étymologiquement à l’eau, via l’arabe, mais aussi lorgne du côté du latin, étant le féminin d’almus, qui signifie nourricier, bienfaisant (il inaugure le deuxième vers du De Natura Rerum, tiens donc).
Ce qui est ici amusant, c’est qu’en fait Alma Warren, dans le livre, est tout sauf bienfaisante (ou alors à la façon d’une érynnie). Alma est peintre de son métier, aussi grande de taille qu’impressionnante psychiquement, elle a — [ la suite:
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Parce que "Alma" signifie en espagnol "âme" et c'est l'un de plus beaux mots espagnols, il est le deuxième prénom de ma fille (et il aurait été le premier si ma femme ne l'avait préféré un autre).
RépondreSupprimer...ne lui avait...
RépondreSupprimeralma lavait plus blanc, c'est bien connu
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