lundi 31 mars 2008

Un cœur simple : palmarès


"Un petit bijou à ne pas manquer" (Worldcinemag)

"A la fois cérébral et très émouvant, le film multiplie les ellipses judicieuses et est traversé de fulgurances saisissantes, à l'image d'un dernier plan d'une rare beauté. Un petit miracle de cinéma." (Baptiste Liger, Lire)

"De ce récit pathétique et d'une sourde atrocité, Marion Laine, pour son premier long métrage, fait un film honnête, méticuleux et fidèle." (Le Monde)

"Portrait touchant et sensible de deux femmes que tout oppose, mais qu’un lien invincible et invisible va lier, peint par deux actrices françaises dont le talent indéniable nous fait vibrer. " (Réponse à Tout)

"Sandrine Bonnaire est exceptionnelle car elle réussit à être à la fois passionnée, dévouée, instinctive, sensuelle, violente, bestiale, soumise, résignée." (Pierre Assouline)

"Marion Laine, dont Un cœur simple est le premier film, raconte l'histoire de Félicité avec attention et sérieux, elle filme adroitement parfois, si elle ne trouve pas toujours ne renonce pas à chercher et dispose en Marina Fois d'une Mme Aubain souvent inattendue et qui ne cesse jamais d'être juste. Il serait inconvenant et stupide de lui reprocher de ne pas être Flaubert, de n'être pas Pialat, pourtant c'est à cela que l'on pense du début à la fin du film." (Pascal Merigeau, Nouvel Observateur)

"Pour son premier long métrage, Marion Laine adapte un conte de Flaubert sur les relations contrariées entre une servante et sa maîtresse : Un cœur simple. Il en résulte un film subtil habité par un duo d’actrices inédit : Sandrine Bonnaire et Marina Foïs. (Studio)

"C'est l'histoire d'une servante au grand coeur, esclave volontaire d'une bourgeoise inconsciente, qui voit disparaître un à un les êtres qui lui sont chers : un amoureux indifférent, une fillette aussi malheureuse qu'elle, un neveu trop aimé, et même un perroquet nommé Loulou.." (Télérama)

"L’adresse de Marion Laine tient principalement à sa manière d’escamoter le temps qui passe." (Libération)

"Exigeant, ambitieux et méritoire, Un Coeur simple est donc un film à voir et Marion Lainé une cinéaste à suivre. Car si elle poursuit ainsi et renouvelle ce qu'elle vient de faire, c'est le cinéma français qui a de beaux jours devant lui. (Jean-Baptiste Guégan- DVDrama)

"our réaliser ce film sensuel, lyrique, passionné et bouleversant, elle a su se détacher du texte originel. Ainsi, elle a ajouté des scènes qui n'existaient pas dans le roman, notamment les déboires sentimentaux de l'héroïne que Flaubert évacue d'un lapidaire «elle avait eu, comme une autre, son histoire d'amour». Un procédé habile qui permet au spectateur de mieux s'identifier au personnage principal. Marion Laine a aussi eu l'intelligence de donner plus de corps aux personnages secondaires. Par exemple, elle complexifie la psychologie de Mme Aubin. La patronne de Félicité, fade et sans relief chez Flaubert, devient à l'écran une femme compliquée, pleine de frustrations et incapable d'exprimer le moindre amour depuis la mort de son époux adoré. Au fond, en manquant de respect vis-à-vis du conte, elle répond parfaitement au voeu de son auteur qui, avec Un coeur simple, s'était donné pour ambition de «faire pleurer les âmes sensibles». (Marianne)

"La fiction, remarquablement interprétée par Sandrine Bonnaire et Marina Foïs, évite les pièges, les contre-sens et met en scène avec pudeur les déchirures secrètes de cette femme simple, inadaptée à la mesquinerie et à la violence du monde. Un premier film prometteur." (Le Point)

"le public français ne réalise pas la chance immense qui est la sienne: il est le seul à pouvoir avoir des films de ce genre, qui ne soient pas tout public et n'aillent pas dans la surenchère. Enfant gâté, va!" (20mn.fr)

A suivre…



1 commentaire:

  1. "- Il neige !
    - Ce sont les pétales des pommiers. C'est le printemps, Félicité.
    - Ma lessive !"

    Certes, je sors du film à l'instant. Mais tout de même, il est rare qu'un dialogue s'imprime si fortement en moi. Et je ne parle pas des images...
    Embrassez de ma part Marion Laine, cher Claro.

    RépondreSupprimer