A force de jouer à Colin-DieHard, il fallait bien qu'il revienne. Voici donc, en FolioSF, le mythique Comme des fantômes…
« Difficile de déterminer à quand remonte la passion de Fabrice Colin pour le monde intangible. ‘Les fantômes sont des souvenirs, écrit-il. Les fantômes sont des pulsions, des idées, des scènes mourantes du passé – et leurs cohortes composent un zoo psychique.’ » (p. 145)
« Quand je pense qu’on m’a demandé si mes nouvelles avaient un sens. Bien sûr que non, elles n’ont pas de sens. Leur seule utilité, c’est de vous aider à oublier l’espace de quelques instants que dans votre cerveau aussi, une veine peut péter à n’importe quel moment. » (p. 194)
« Quand je pense qu’on m’a demandé si mes nouvelles avaient un sens. Bien sûr que non, elles n’ont pas de sens. Leur seule utilité, c’est de vous aider à oublier l’espace de quelques instants que dans votre cerveau aussi, une veine peut péter à n’importe quel moment. » (p. 194)
En guise de préface à l'ouvrage, "L'Œil de l'ami", par l'auteur de ce blog…
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