Gais et contents, nous étions triomphants, De nous voir à Longchamp, le cœur à l'aise, Sans hésiter, nous voulions tous fêter, Voir et complimenter l'armée française
Et le soir, lorsque nous rentrons, Nous sommes tous complètement ronds. Ma sœur qu'était en train Ramenait un fantassin, Ma fille qu'avait son plumet Sur un cuirassier s'appuyait, Ma femme, sans façon, Embrassait un dragon, Ma belle-mère au petit trot, Galopait au bras d'un turco.
Gais et contents, nous allions triomphants En revenant de Longchamp, le cœur à l'aise, Sans hésiter, nous venions d'acclamer, De voir et de complimenter l'armée française
en revenant de la revue..............
RépondreSupprimerGais et contents, nous étions triomphants,
De nous voir à Longchamp, le cœur à l'aise,
Sans hésiter, nous voulions tous fêter,
Voir et complimenter l'armée française
Et le soir, lorsque nous rentrons,
Nous sommes tous complètement ronds.
Ma sœur qu'était en train
Ramenait un fantassin,
Ma fille qu'avait son plumet
Sur un cuirassier s'appuyait,
Ma femme, sans façon,
Embrassait un dragon,
Ma belle-mère au petit trot,
Galopait au bras d'un turco.
Gais et contents, nous allions triomphants
En revenant de Longchamp, le cœur à l'aise,
Sans hésiter, nous venions d'acclamer,
De voir et de complimenter l'armée française