"Le totalitarisme a inventé son invisibilité" (Cédric Demangeot)
lundi 13 octobre 2008
LOL
« J'ai toujours cru que la littérature c'était comme la mer, ou plutôt comme le vol d'un oiseau au-dessus de la mer, glissant très près des vagues, passant devant le soleil » (J.M.G. Le Clézio, 1985).
"Et ce n'est pas à l'égard de celui qui nous répugne que nous sommes intraitables, mais c'est à l'égard de celui qui ne nous regarde en rien." Nietzche
quelques phrases de Claro sur la littérature inspirées de Deleuze, ou quelques emprunts (ligne de fuite et je ne sais quel rhizome qui se cache derrière un devenir) relèvent de la même naïveté, si ce n'est pire, car elles se drapent en plus dans une agressivité qui ferait honte au moindre bachoteur philosophe
à cette aune, on peut se permettre d'être compréhensif...
oulala
RépondreSupprimerhttp://www.armenza.com/images/boutique/soins_solaires/creme-solaire-melvita-20.jpg
Attention au guano !
RépondreSupprimerrhôôôh, c'est trop facile...
RépondreSupprimerMême pas honte.
RépondreSupprimer"Et ce n'est pas à l'égard de celui qui nous répugne que nous sommes intraitables, mais c'est à l'égard de celui qui ne nous regarde en rien." Nietzche
RépondreSupprimerJe peux être lecteur heureux de Le Clézio et de Pynchon ! Non !
RépondreSupprimerMerci, Claro, pour cette "brève" de Le Clézio.
jeter la pierre...
RépondreSupprimerquelques phrases de Claro sur la littérature inspirées de Deleuze, ou quelques emprunts (ligne de fuite et je ne sais quel rhizome qui se cache derrière un devenir) relèvent de la même naïveté, si ce n'est pire, car elles se drapent en plus dans une agressivité qui ferait honte au moindre bachoteur philosophe
à cette aune, on peut se permettre d'être compréhensif...
Beau projet. Qui s'y colle ?
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