"Je ne sais pas si vous regardez les classements des meilleures ventes, mais, en général c'est au moins 50% de littérature étrangère. C'est un domaine qui ne m'a jamais intéressé. on a affaire à des "détecteurs" qui vous traitent comme des "handicapés", à des "agents" qui vous considèrent comme des "Zoulous", à des traducteurs qui vous prennent pour leur "fiancée", par contre les journalistes, les critiques ne jurent que par la littérature étrangère , supposée être très supérieure à la littérature française."
Ouf. Enfin un éditeur avec une vraie perception du paysage éditorial, un sens de la mesure, une justesse d'analyse… Poitiers reste décidément une limite indépassable.
Peut-être Léo a-t-il écrit ça après l'apéropitcheur ?
RépondreSupprimerC'est pas "Mur du çon", d'habitude ?
RépondreSupprimerAllez, allez, remettez-vous. Et pis faut pas lire tant de blogs !
J'avoue que sa dernière expo avec Thomas Lélu a atteint la hauteur des plus haut sommets de la chaîne de lit-mal-na-ya.
RépondreSupprimerSon titre Je vide des tubes.
Ouais, mais l'art, c'est après que ça se joue.
htpp://anthropia.blogg.org