mercredi 25 février 2009

Avant-printemps

D’emblée, ma cocotte, on omet les personnages, leurs familles, relations, animaux domestiques, et autres ambitions. La psychologie des surfaces étant ce qu’elle est, après vérification n’a pas tenu, ici trois lignes. Ce n’est pas renoncement ni édit cruel, le public pervers l’aura compris. On n’en veut pas. Ce serait, sinon, faire ripailles d’imbroglios. User et s’amuser de subterfuges. Et puis, tous ces noms propres, quelle clé leur donner, à quelle portemanteau accrocher leur soi-disant idéaux ? On n’a pas voulu imposer de plan de page, ni disposer de ronds de serviette. On est comme ça, et c’est une orientation générale. On leur dit adieu et surtout bonne chance. Le temps ne presse pas, mais quand même. J’insisterai en temps voulu. Le mien, pas le tien.

4 commentaires:

  1. I both agree & disagree

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  2. J'ai des portes-mentaux sous le lit, "ils" prennent la poussière,
    quand je m'allonge,
    ils me rentrent dans le dos,
    Je dors mal
    c'est la faute à Tristan Corbière!

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  3. Hello !
    J'attends votre invitation pour le navarin de... veau ?
    On a tout le temps...
    ;o)
    Alistrid

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  4. Puisque nous en sommes aux citations, examinons ce qui suit :
    Consensus
    Cons
    Sang
    Sucent
    dans -Esthétique du chaos-, Mehdi Belhaj Kacem, plus loin dans le livre : "C'est en quoi l'affect est l'agent de communication le plus puissant, étant celui même de la contamination : de l'économie sélective de ce qui se présente d'abord comme invasion aliénante, in-discernement, singularité chaotique."
    Un dissensus : -Chaosmose-, Felix Guattari
    Mais le dissensus ne consiste pas à démolir les uns pour encenser les autres.
    Le dissensus, c'est Michel Onfray qui nous présente dans son université populaire des philosophes dont la pensée n'a pas été diffusée comme elle aurait dû.
    Le dissensus, c'est Robert Walser qui se promène dans la neige en écrivant, sur des bouts de papier de rien, ses microgrammes.
    Le dissensus, c'est tous les blogs littéraires que j'ai lus, ces temps-ci, avec beaucoup d'intérêt parce que la pensée est différAnce, merci l'ami Garp pour tous ces liens, j'ai même pu écouter 2 versions différentes de la chanson Suzanne, je préfère la première ça ne veut pas dire pour autant que la seconde ne vaut rien.
    J' ai appris également, et c'est important de savoir ça au moins une fois dans sa vie, que je suis une imbécile cependant je dois être très contagieuse il paraît que les universitaires aussi en sont. Je me souviens d'un universitaire (pardon de l'avoir contaminé mais à ce moment-là je ne savais pas que j'étais imbécile) avec qui j'avais eu une discussion sensible sur l'envol dans l'œuvre de Perec et en parallèle je lisais -Daewoo- ou dans un tout petit paragraphe François Bon écrit qu'il y a une espèce d'espace que Perec ne décrit pas à savoir la sensation que l'on peut éprouver de la ville quand l'avion commence sa descente ou sa montée. Un paragraphe important qui faisait lien, c'est ainsi que j'en tiendrai compte dans la construction d'une maquette de la polygraphie, je suis ainsi la seule à savoir que les licenciés devenus chômeurs de Daewoo sont également représentés dans cette polygraphie. C'est de l'humain que je veux transmettre à ma descendance et ce que je lis doit trouver son application poétique et humaine dans ma vie quotidienne si ça ne se passe pas alors c'est du tripotage de pages inutile.
    Dissensus dit-elle ?

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