tag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post1233816360914587424..comments2024-03-27T09:48:54.524+01:00Comments on Le Clavier Cannibale: La danse des trajectoires: Opération Kerangalclarohttp://www.blogger.com/profile/06678637065882679647noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post-66076704147324655582014-01-24T20:02:39.642+01:002014-01-24T20:02:39.642+01:00A "Lucas". Comment vous dire, je n'a...A "Lucas". Comment vous dire, je n'ai pas réussi à vous "recommenter" tout de suite. Vous êtes fin! Il n'y avait pas de colère dans mon premier commentaire. Ces "choses-là" gardent une la force initiale intacte.On a l'âme qui boîte définitivement. Ne culpabilisez pas.Nous savons qu'il faut "que ce soit fait".<br />Portez-vous bien Monsieur.Maxime LILENFELDnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post-67858686328708096532014-01-22T17:13:59.563+01:002014-01-22T17:13:59.563+01:00contrairement à"guermantes", j'ai bi...contrairement à"guermantes", j'ai bien aimé et l'article de tête qui explique la technique de l'écriture de l'auteur et puis le commentaire de monsieur Maxime. Il m'a beaucoup touché en tant qu'interne en médecine.La spécialisation que je suis est celle concernée par le livre de de Kérangal. Nous n'avons pas le "droit" de laisser les parents installer leur douleur mais nous savons bien qu'ils souffrent. Et je pense que ce monsieur a dû faire face à cela. J'essayerai à mon niveau d'être juste moins "professionnel"après ça. et c'est la magie des livres. et un peu de politesse "guermantes".honorez donc proust! Lucas.Lucasnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post-47418671733939671602014-01-20T18:30:09.408+01:002014-01-20T18:30:09.408+01:00Un peu beaucoup parasite, le Maxime, et sa prose n...Un peu beaucoup parasite, le Maxime, et sa prose n'arrive pas a la cheville de celle du patron. Il pourrait pas se fabriquer son bac à sable à lui, et nous foutre la paix ici ?<br /><br />GuermantesAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post-56212834014896361642014-01-20T15:56:46.390+01:002014-01-20T15:56:46.390+01:00C'était arrivé là. La semaine dernière. Chez m...C'était arrivé là. La semaine dernière. Chez moi. Comme un "lecturable" ordinaire et j'ai ouvert. Sans précaution.<br /><br />Et c'est une drôle d'histoire.<br />L'Eternité en suspension.La peur en multiplication.<br />L'esprit et le coeur enchâssés dans le ciment de la douleur à prise très rapide. Avant d'avoir réussi à raccorder le souffle coupé,se retrouver en un cillement d'yeux intronisé Grand César levant le pouce pour sauver une vie alors que la Vie vient de baisser le sien contre votre amour d'elle. Une extinction de futur sans préavis. C'est demander à un boxeur sortant KO du ring d'entamer un ravaudage de linge fin au petit point avec ses gants de boxe encore aux mains.<br />La poussée violente dans le sas hermétique de la peur suprême. Le début de la danse à l'envers.<br />Devoir savoir tout de suite ne pleurer qu'avec les yeux. Ne pas laisser descendre la douleur plus bas que la gorge. Anesthésier les souvenirs. Déconnaître la voix que l'on n'entendra plus que dans son coeur, dans sa tête. Maintenir le "oui" attendu sur le bord de la langue pour que le "non" douloureux et aimant ne jaillisse pas en premier. Faire juste parler la bouche. "OUI"<br />Tordre là, subitement, et nouer la vie par les deux bouts. Et le geste doit être sûr.Sans préparation! De la vraie épouvante qui assèche la cuve du sommeil pendant toujours désormais. Situation où la vie, en prenant un sens interdit, vous tamponne avec un illogisme formidable à capacité de char d'assaut lancé à toute dézingue. <br />Et avant d'avoir bien réalisé que les lumières blafardes ne sont pas celles d'un hall d'aéroport, on se retrouve possesseur d'une carte estampillée "Club des parents inclassifiés". On est veuf de partenaire d'épousailles ou non, on est orphelin de parent aimant, aimé ou pas et on est ".........." de son enfant!<br />Le trou! Et il faut pourtant, au fond de ce trou,allumer une lumière dans sa tête et éclairer pour un inconnu un futur valable. Là! Tout de suite! Et il faut même éclairer nombreusement! Car il arrive que l'on ne répare pas qu'un seul vivant à la fois.<br /><br />Terrifiance en lévitation. Cauchemar installé en esprit. Alors le verbe "donner la vie", se mettant à l'envers de lui-même, revêt une effroyable belle générosité. On ne pourra plus détester l'Autre, il pourrait héberger une part de notre éternité. Mais qu'il est difficile de comprendre Dieu offrant la vie de son fils en rémission de nos péchés! Manger, fumer, boire, radiner,forniquer dans les coins et faire des trous dans des corps méritait-il tant?<br /><br />Dieu! Il y a des lexiques et des sémantiques à ne pas connaître! Jamais!<br />Jamais autant fait le signe de la prière et de la conjuration du sort en lisant un livre!<br /><br />Dame Marie-à-la-fleur-de-lys, vous croyez vraiment que ce sont des manières! Et vous, Sieur-d'Ici, vous me diaprez le début de la semaine avec cette peur-non peur-peur. Le supplice de la goutte d'eau sur le crâne de l'immobile. De la Série-Noire en distillation.<br /><br />"J'y pense et puis j'oublie. J'y pense surtout quand je suis seul(e) la nuit"... Qui chantait déjà ça?<br />Avé! Quand même! Maxime LILENFELDnoreply@blogger.com