tag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post8082365113995843381..comments2024-03-27T09:48:54.524+01:00Comments on Le Clavier Cannibale: Cent mille milliards de Tarkosclarohttp://www.blogger.com/profile/06678637065882679647noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post-64043704122313924752008-12-02T11:03:00.000+01:002008-12-02T11:03:00.000+01:00Proposition intéressante , je penserais plutôt qu'...Proposition intéressante , je penserais plutôt qu'ils ne décident pas qu'ils me laissent beaucoup de liberté mais il faudrait creuser. Par contre j'ai un exemple dans C-J avec "dés-Orientés" écrit de cette façon. L'expression est pour moi pleine d'humour, j'ai ri en lisant ça d'abord parce qu'elle est visionnaire dans le contexte du roman, dans son décalage temporel puisqu'elle rend aussi compte du débat entre Einstein et Bohr (vers 1930), dieu joue-t-il aux dés ou pas ? Selon Einstein le monde serait déterminé donc pas de place au hasard alors que pour Bohr il est fondamentalement indéterminé, on ne sait pas dans quel lieu précis est l'objet car la particule est aussi une onde, elle est partout sans savoir où exactement, pour adhérer, selon les physiciens, au déterminisme il faut abandonner l'idée de localité et appréhender le concept de non-localité. Je ne sais pas si l'expression américaine est aussi évidente, mais en tout cas j'ai bien ri ? Abandonnons donc nos idées étroites, sans espaces pour pouvoir rêver, c'est ainsi qu'on peut lire des auteurs comme Christophe Tarkos.<BR/>Il y a un autre passage dans C-J où mes souvenirs ont resurgit et où le mot a décidé. Avec prétention j'ai même cru que Pynchon-Claro l'avait écrit pour moi. Il s'agit d'un tout petit paragraphe qui dit toute la vérité sur un village de l'ex-Yougoslavie, à savoir Senj où j'ai été contraint de rester à cause d'une panne de voiture et là j'ai vécu une aventure humaine surréaliste à cause de la densité de possibles qui ne voulait pas se faire.Marylin Rollandhttps://www.blogger.com/profile/14125133629211342832noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post-44879411978789779282008-12-01T11:26:00.000+01:002008-12-01T11:26:00.000+01:00Quand je lis un roman c'est moins l'histoire qui m...Quand je lis un roman c'est moins l'histoire qui m'intéresse que la dynamique des mots, le rythme donc quand je lis Zone, Anima Motrix, Contre-jour (leur point commun étant Dante et ses hendécasyllabes) c'est pas un livre que j' lis mais une partition. Tout ce que j'affectionne dans la poésie : Charles Pennequin, Natahalie Quintane, j'aime le lire dans ce qui est appelé roman, ce sont les mots qui décident.<BR/><BR/>Bilocation manifeste au clinamen de la ligne vers E-G<BR/>Les V sont sur leur 31 sur la couverture en toile, ils me font penser à des semis de Perec ou à des Tanka de Roubaud ou encore à la masse d'un électron qui vaut 9x10 puissance - 31.Marylin Rollandhttps://www.blogger.com/profile/14125133629211342832noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post-45824063272866424212008-11-30T19:43:00.000+01:002008-11-30T19:43:00.000+01:00C'est marrant, j'ai longuement feuilleté ce livre ...C'est marrant, j'ai longuement feuilleté ce livre hier après midi.Antonio Werlihttps://www.blogger.com/profile/06391102382954829648noreply@blogger.com