tag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post5884106790829510108..comments2024-03-27T09:48:54.524+01:00Comments on Le Clavier Cannibale: Gesticulations d'un jouisseur averticlarohttp://www.blogger.com/profile/06678637065882679647noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post-32597608177966274932017-09-25T08:55:20.501+02:002017-09-25T08:55:20.501+02:00Un très grand MERCI Claro ! Un très grand MERCI Claro ! Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post-83550786708448640422017-09-23T19:01:40.171+02:002017-09-23T19:01:40.171+02:00Ben Lerner ?? après « Leaving the Atocha Station »...Ben Lerner ?? après « Leaving the Atocha Station ».Cela ne pouvait pas être trop mal. A la limite cela ne pouvait être que mieux, tant j’avais été surpris à la première lecture, comparé à ce qu’en disaient les critiques américains.<br /><br />Grégoire Bouillier .Rebuté par les deux autres tomes à s’enfiler quand ce pavé aura été digéré, si cela peut se faire. Et dire qu’il y a déjà « Jérusalem » pour lequel j’ai du mal à dépasser les 300 pages (mais ayant compris ou A Moore veut en venir, cela va mieux. Dire qu’il y a encore la moitié de « Agnus Regni » (2015, Dela Editions, 624 p.) qui attendent. Et après « L’Esthétisme d la Résistance » de Peter Weiss (2017, Klincksieck, 890 p.).<br /><br />En attendant 2 titres très bien de Richard Wagamese, un ojibwé canadien, qui me fait beaucoup penser à Jo Boyden « Le Chemin des Ames » (2006, Albin Michel, 391 p.). Dans « Indian Horse » traduit par Christine Raguet en « Jeu Blanc » (2017, Editions Zoé, 256 p.), il décrit la vie de Saul Indian Horse, jeune Ojibwé, élevé dans les traditions de son peuple qui devient célèbre par ses qualités de hockeyeur, sport national très populaire au Canada. Le cocktail « premières nations » et Hockey ne pouvait que marcher. Mais l’écriture est très belle, ce qui ne gâche rien, au contraire. Un premier livre de Richard Wagamese « Les Etoiles s’éteignent à l’aube », traduit par Christine Raguet (2016, Editions Zoé, 288 p.) est maintenant disponible en poche (2017, 10/18, 310 p.).<br /><br />Mika Biermann, pareil c’était sans grande surprise après « Palais à Volonté » (2024, P.O.L., 192 p.) et « Sangs » (2017, P.O.L., 160 p.), c’est tout de même chez P.O.L.<br /><br />Pour finir « Iles Flottantes » de Jean-Luc Cattacin (2017, Phébus, 176 p.) narre les aventures ( ??) d’un jeune homme, nommé on ne sait pourquoi Rouquin par son copain Ficelle. En compagnie de Rosalie sa vieille bicyclette, et d’une moto pétaradande. Un peu de fumette, un peu de drague (pas trop). Une surprenante planche gravée en Rongo-rongo, soi-disant venue de l’Ile dePâques, qui en principe devrait susciter l’intérêt du narrateur et d’une bibliothécaire, spécialiste de l’Ile. Un article dans « Transfuge » soulignait « le délicat mélange de Salinger et de Le Clézio », il devait être très délicat. Ou alors j’ai mal lu Le Clézio. A part quelques scènes de bains de mer ou de plages, l’ensemble ne m’a transporté ni sur les Iles, ni sur les traces des océaniens. L’intérêt du livre, pour moi, est qu’il ne fait que 176 pages (et a une pas trop moche couverture).<br />jlv.livreshttps://www.blogger.com/profile/04279430540844975421noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post-75369883009307449362017-09-23T18:56:39.809+02:002017-09-23T18:56:39.809+02:00Grégoire Bouillier / Prosper Bouillon...
Coinciden...Grégoire Bouillier / Prosper Bouillon...<br />Coincidence ? I think not<br />(si on me cherche je suis déjà sorti boire au PMU des conspiratés)Anonymousnoreply@blogger.com