tag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post438147200504384057..comments2024-03-27T09:48:54.524+01:00Comments on Le Clavier Cannibale: A questionclarohttp://www.blogger.com/profile/06678637065882679647noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post-6516025033154756672007-09-12T21:36:00.000+02:002007-09-12T21:36:00.000+02:00Eu la même question, la même réponse rapide du tem...Eu la même question, la même réponse rapide du temps, et me suis redit qu'en ayant lu un seul Markson, le reste sur le même principe me semblait peu engageant (quoique beaucoup plus après le post de fausto), avant de penser que chez Beckett (et chez d'autres dans une autre mesure), ça ne m'a jamais posé aucun problème, et même l'inverse. Pourtant niveau épuisé, il se pose là.otariehttps://www.blogger.com/profile/11958001358791761087noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post-73914476804747548732007-09-12T20:12:00.000+02:002007-09-12T20:12:00.000+02:00Rien à voir avec "différence" et "répétition" - ju...Rien à voir avec "différence" et "répétition" - juste une banale coïncidence lorgnant fortement du côté de Markson. Tombé aujourd'hui sur cet extrait de lettre de Flaubert à Louise Colet du 16 janvier 1852 :<BR/>"Ce qui me semble beau, ce que je voudrais faire, c'est un livre sur rien, un livre sans attache extérieure, qui se tiendrait de lui-même par la force interne de son style (...)"<BR/>Serait-ce ce qui a conduit le traduttore à oeuvrer précisément sur ce Markson là ?g@rphttps://www.blogger.com/profile/00799882686900865536noreply@blogger.com