tag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post3466088479001024447..comments2024-03-27T09:48:54.524+01:00Comments on Le Clavier Cannibale: L'art de la dissolution selon Mathieu Brosseauclarohttp://www.blogger.com/profile/06678637065882679647noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post-21345905251531272402015-05-12T16:18:57.801+02:002015-05-12T16:18:57.801+02:00désolé c'était Maurice Renard et non Jules
dan...désolé c'était Maurice Renard et non Jules<br />dans un paysage où tout est mort et où tout objet non en bois-liquide-terre est aussi mort <br />mais comment fait il pour vivre ce Jean Des Bories ?<br />cela donne envie de commander les autres bouquins de l'Ogre<br /><br />mais là j'ai sombré dans les auteurs africains lauréats du Caine Prize (il y matériel à traduire.....avis aux professionnels)<br />jlv.livreshttps://www.blogger.com/profile/04279430540844975421noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post-75568729972581383692015-05-11T20:54:48.452+02:002015-05-11T20:54:48.452+02:00Un jour d’orage de septembre 35, après un parcours...Un jour d’orage de septembre 35, après un parcours de chasse avec sa chienne Rita, il fait chaud et soif. Et Rita trouve une source, large au point de pouvoir s’y baigner. Et puis tout bascule. Des voix apparaissent, tout ce qui est en métal se dissout.<br />Une lumière d’un jaune cuivré baigne le vallon. Le ciel est mort. La chienne ?<br /><br />On pense à Jules Renard et aux premiers livres fantastiques de la même époque. Dans ce monde « nouveau », notre chasseur pars à pieds pour Paris, rejoindre son ami d’enfance, Marescot. C’est en chemin qu’il va rencontrer la loutre, qu’il va tenter d’apprivoiser.<br /><br />J’ai fait allusion à Jules Renard, peut être sans le coté scientiste de l’époque (cf. les livres de la collection Pierre Lafitte (où sont parus les Arsène Lupin). Une fraicheur d’écriture (merci aux éditions de l’Ogre). Et puis aussi cette espèce de nostalgie de l’après guerre (juste avant l’autre). Tout a disparu (il n’ya a qu’à (re)lire ces romans). Avant 14, les gens (riches, bien sur) ne font rien ou presque (banquiers, homme d’affaires) avec du « petit personnel » à la maison. Et ce qui est frappant, c’est que après la guerre (à partir de 20), ces gens là ont disparu, leur « petit personnel » aussi. Reste la campagne (celle de Lucien Ganiayre), dans laquelle le fantastique fait irruption. Et c’est beau.<br /><br />Lucien Ganiayre. L’orage et la Loutre. Editions de l’Ogre n°6<br />jlv.livreshttps://www.blogger.com/profile/04279430540844975421noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-476452196301941770.post-52540140202205307292015-05-07T12:32:40.357+02:002015-05-07T12:32:40.357+02:00Quel bonheur que de te voir parler comme tu le fai...Quel bonheur que de te voir parler comme tu le fais du texte de Mathieu, l'un des meilleurs poètes de sa génération (que j'eus la chance de découvrir dès ses tout débuts), de nos vrais et importants poètes tout court! Et, bien que "Data Transport" soit un "roman", j'ai insisté à dessein sur le mot "poète" pour désigner où il se tient en littérature, tant m'exaspère cette mode qui consiste à dire négligemment, comme si ça allait de soi, "romancier" à la place d' "écrivain", alors que c'est de la poésie que tout part et où tout revient...Andréhttp://andrelbn.wordpress.comnoreply@blogger.com