mercredi 12 mars 2008

Le gueuloir électronique


"On peut lire sur un blog la chronique nerveuse ou énervée de nos vies dans la tension particulière de chaque jour" (Eric Chevillard). Sur le site du contre-journal de Libération, quelques réflexions et témoignages sur les blogs littéraires, par neuf écrivains, dont Laure Limongi, Eric Chevillard, François Bon, et votre serviteur. Un certain François Monti est cité… ainsi que le délicieux crémeux… "

6 commentaires:

  1. J'ai justement vu ça il y a dix minutes et te remercie.

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  2. Pas encore vu - effet (s) café(s) en cours d'activation - mais j'y go de suite après une fumer-tue.

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  3. C'est fou ce qu'on devient tendance, hein !

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  4. Oh, ça passera… what goes up must go down, pas de souci…

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  5. Tendance, ouaip !
    Mais quand on lit le Magazine Littéraire d'avril entre les lignes, les blogs littéraires sont soit ceux d'éditeurs par l'odeur allêchée, soit ceux d'écivains confirmés ou en devenir ou souhaitant le devenir - donc ayant tous quelque chose à vendre. Et ceux n'ayant rien à vendre, finissent récupérés.
    Nouvlabien...

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  6. Si on tient un blog, c'est qu'on a quelque chose (subjectivement parlant) à montrer, donc à vendre (même si la "monnaie" échangée n'est pas "physique").
    Super intéressant, l'article du contre-journal et les témoignages.

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